Juda non plus n'observa pas, etc., mais marcha dans les statuts d'Israël. Il suivit les procédés idolâtres des dix tribus, ce qu'ils firent le plus notoirement sous le règne d'Achaz. Et bien que son fils Ézéchias ait fait une noble réforme, celle-ci n'a pas duré plus longtemps que son temps, tant la nation était extrêmement corrompue. L'idolâtrie et la méchanceté de Juda sont ici rappelées comme une aggravation du péché des Israélites, qui était non seulement mauvais en soi, mais nuisible à leurs voisins, qui par leurs exemples ont été instruits dans leurs mauvais arts, et provoqués à une imitation d'eux : voir Osée 4:15 ; Matthieu 18:7 . Ceux qui apportent le péché dans un pays ou une famille y apportent une peste et devront répondre de tous les méfaits qui s'ensuivent.

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