Et dit : Où est le Seigneur Dieu d'Elie ? Qui à la demande d'Elie a divisé ces eaux, et est capable de le faire à nouveau. Mais selon cette traduction, deux mots sont omis, à savoir, Š הוא, aph-hu. La clause traduite littéralement est : Où est le Seigneur Dieu d'Elie, même Lui ? qu'un savant étranger interprète ainsi ; qu'Elisée a posé cette question : Où est-il ? &c., se répond dans les deux derniers mots, aph-hu, oui, il est encore dans l'être. Abarbinel les expose, Bien qu'Elie ne soit pas ici, pourtant son Dieu est. Le serviteur manque, mais pas le Seigneur. Le Dieu béni est toujours présent et remplacera sa place.

Et quand il eut aussi frappé l'eau, ils se séparèrent çà et là Comme lorsqu'Élie les frappa avec le même manteau, qu'ils utilisèrent tous les deux, comme Moïse fit sa verge, n'imaginant pas qu'il y avait en elle une vertu inhérente, ou faisant confiance du tout la bride; mais en l'utilisant comme un simple signe de la présence et de la puissance de Dieu, en qui seuls ils se sont confiés pour opérer cette merveille. Ainsi, le dernier miracle d'Élie fut le premier d'Élisée, et le disciple commença là où son maître s'était arrêté, reprenant et continuant la même œuvre bénie de témoignage pour Dieu contre les idoles et les idolâtres.

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