Jonathan, tué dans tes hauts lieux, il dit ton , car ils étaient dans le pays de Jonathan; et, si son père ne l'avait pas déshérité par ses péchés, dans ses domaines. Ainsi le chagrin de David, qui a commencé avec Jonathan, se termine naturellement avec lui. Il est bien connu que nous nous lamentons sur la perte de nos amis ; et David n'était aucunement soucieux de cacher cette circonstance. Je suis affligé pour toi, mon frère Jonathan Dans la première partie de cette lamentation, David célèbre Jonathan comme un homme courageux, dans la seconde il le pleure comme un ami. Et à cet égard, il avait certainement envers lui autant d'obligations que jamais un homme en avait envers un autre. Car, comme il l'observe ici, l'amour de Jonathan pour lui était en effet merveilleux, dépassant l'amour des femmes. Et les armes de guerre ont périToute gloire militaire disparue d'Israël ! "C'est peut-être l'œuvre de la fantaisie en moi", explique le Dr Delaney, "mais pour moi, je l'avoue, cette dernière strophe est l'image la plus forte de chagrin que j'ai jamais parcourue. À mon oreille, chaque ligne est soit gonflée de soupirs, soit brisée de sanglots.

Le lecteur avisé trouvera une coupure dans la première ligne de celui-ci, très probablement ainsi laissée dans l'original, l'écrivain ne pouvant trouver d'épithète pour Jonathan répondant à l'idée de son désarroi. Nos traducteurs ont fourni l'interjection O! Jonathan, poignardé dans tes hauts lieux !« Pour conclure : Rares sont ceux qui ont parcouru cette lamentation avec si peu d'attention pour ne pas la percevoir évidemment animée d'un esprit vraiment martial et magnanime ! C'est la lamentation d'un homme courageux sur des hommes courageux. C'est, en un mot, une lamentation également pathétique et héroïque. A cela s'ajoute, il n'en est pas moins généreux. Car dans l'esprit le plus noble, David passe sous silence tous les mauvais traitements que lui et son ami Jonathan à cause de lui avaient reçus de Saül ; il n'y fait pas la plus lointaine allusion, mais semble s'efforcer à travers tout le chant de cacher tout ce qui pourrait faire réfléchir sur lui. Les lignes que nous avons promises sont les suivantes :

« Au milieu de la phalange de la foule, où la bataille s'est déroulée,

L'arc de Jonathan, furieux, brûlé;

Ni e'er, de la fête sanglante de l'abattage,

L'épée de Saül est revenue inassouvie !

Tous les yeux, tous les cœurs admiraient le joli couple,

Le parent princier et le fils pieux ;

Dont la vie unie, non divisée sont

Dans la mort, dont la terrible catastrophe est une.

Avec pignon rapide à travers la plaine aérienne

L'aigle éclair vole, mais plus vite ils ;

Fort est le monarque du domaine du bois,

Mais plus leur puissance s'indigne contre la proie.

Ye nymphes en pleurs, accordez la lyre de deuil

Aux accents solennels de wo sympathique;

Filles d'Israël, que les braves admirent,

Enchérissez pour les braves le flux funéraire des laïcs !

'Twas Saul revenant des labeurs de la bataille,

Chef triomphant ! au milieu de ses guerriers audacieux,

Qui couronne tes beautés du butin de la Philistie,

Qui a paré tes charmes de diamants et d'or,

Pour le reste, voir l'Arminian Magazine de juin 1811.

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