Il n'y aura pas de prostituée parmi les filles d'Israël. Pas de prostituée commune, comme celles tolérées et encouragées par les Gentils, et utilisées même dans leur culte religieux. Non pas que de telles pratiques aient été autorisées aux étrangers parmi eux, comme le montrent de nombreux passages de l'Écriture et de la raison ; mais qu'elle leur était d'une manière particulière et pour des raisons spéciales, interdite, comme étant beaucoup plus odieuse chez eux que chez les étrangers. Il est remarquable que les mots originaux, que nous rendons putain et sodomite , désignent un homme ou une femme consacré à quelque divinité, qui servait leurs dieux par la prostitution.

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