Portez les fardeaux les uns des autres Compatissez et aidez-vous les uns les autres, dans toutes vos faiblesses, griefs, épreuves. L'apôtre fait allusion à la coutume des voyageurs qui, trop chargés de leurs bagages, se soulagent les uns les autres en portant les fardeaux des faibles ou des fatigués, et se montrent ainsi les uns envers les autres ; et ainsi accomplir la loi du Christ même cette loi d'amour, qu'il enjoint particulièrement et spécialement, la nommant son nouveau commandement, et en faisant la marque distinctive de ses disciples ; et sûrement nous pouvons recevoir volontiers cette loi de quelqu'un qui était lui-même un exemple d'amour si inégalé, et qui avec une si gracieuse sympathie a porté nos fardeaux de douleur, et a emporté le poids de notre culpabilité. Car si un homme Si quelqu'un;pense qu'il est quelque chose au- dessus de ses frères, et adopte une opinion démesurée de lui-même; quand il n'est rien Comme ce qu'il s'appréhende être ; et en particulier s'il est si vaniteux de sa propre suffisance, au point d'imaginer qu'il est capable de résister à la tentation par sa propre force, ou par la force de la grâce inhérente, et alors insulte ou méprise son frère déchu, en comparaison de lui-même , et n'est pas compatissant et amical envers lui; il se trompe lui - même Se trompe entièrement dans le jugement qu'il porte sur son état et son caractère.

Mais que chacun empêche un si grand mal ; prouver son propre travail Examiner de près tout ce qu'il est, tout ce qu'il a et tout ce qu'il fait ; et alors si son esprit et sa conduite sont jugés conformes à la règle que Dieu lui a donnée, et ainsi approuvés par Dieu ; il se réjouira en lui-même de ce que Dieu a fait pour lui et en lui, en lui pardonnant et en le renouvelant, et en lui permettant de marcher devant lui en toute satisfaction ; il trouvera du réconfort en sachant que son cœur est droit avec Dieu, et qu'il a sa conversation selon l'évangile ; et pas dans un autre C'est-à-dire pas dans les applaudissements qu'il reçoit d'un autre, ni en se glorifiant sur les autres, comme inférieur à lui-même en dons ou grâces, en sainteté ou en utilité.Pour chaque homme Au jour du jugement dernier; portera son fardeau. Il rendra compte de lui-même à Dieu ; ne répondra que de ses actes et non de ceux des autres.

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