Quiconque mange ma chair, etc., a la vie éternelle A les principes de la vie éternelle implantés en lui, et en jouira; car je le ressusciterai, etc. Car ma chair est vraiment de la viande , &c. Ma chair et mon sang sont la véritable nourriture de l'âme : ils la nourrissent et la font grandir : ils donnent de la vigueur à toutes les facultés, la conservent dans la vie spirituelle, et la rendent propre au ciel. Celui qui mange ma chair, etc., habite en moi, et moi en lui Par une union intime et inséparable. Comme le Père vivant La grande source de vie et de félicité ; m'a envoyé, et je vis par le PèreNe faire qu'un avec lui : ou, quant à ma nature humaine, vivre de son soutien, de sa protection et de ses soins ; il demeurait continuellement en moi, et me communiquant son Esprit dans la plus riche abondance de dons et de grâces ; ainsi celui qui me mange, qui se confie à moi et s'attache à moi par une foi vive et agissante ; vivra par moi Une vie spirituelle, sainte et heureuse, par l'Esprit que je lui communiquerai : il sera uni à moi par une union intérieure et vitale.

Ceci est le pain Ceci, dont je parle, ou, je suis le pain; qui est descendu du ciel Aux fins susmentionnées. Pas comme vos pères mangeaient de la manne , etc. Ce pain n'est pas comme la manne que vos pères ont mangée et qui sont morts malgré tout ; et elle ne doit pas être mangée de la même manière que vos pères ont mangé la manne, ni avec le même effet ; car celui qui mange de ce pain vivra éternellement, il sera si loin de mourir, comme vos pères l'ont fait dans le désert, que sa vie et son bonheur n'auront pas de fin, mais seront parallèles à la plus longue ligne de l'éternité elle-même.

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