Voici, maintenant, j'ai ordonné ma cause , à savoir, dans mon propre esprit. J'ai examiné sérieusement l'état de mon cas, ce qui peut être dit, soit pour moi, soit contre moi, et suis prêt à plaider ma cause. Je sais que je serai justifié Acquitté par Dieu de l'hypocrisie et de la méchanceté dont vous m'accusez, et déclaré juste, à l'exception des infirmités humaines. Qui est-ce qui va plaider avec moi ? Que qui viendra m'accuser, je suis prêt à répondre. Si je me tais, je rendrai l'âme. Ma douleur me briserait le cœur si je ne la laissais pas aller.

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