On en comptait trois mille deux cents Ici apparaît la sagesse de la Divine Providence, que tandis que chez les Kehathites et les Guershonites, dont les fardeaux étaient moins nombreux et plus faciles, il n'y avait qu'environ un tiers d'entre eux aptes au service, les Merarites, dont les fardeaux étaient de plus en plus lourds, plus de la moitié d'entre eux étaient aptes à ce travail.

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