Autrement , que feront - ils, et C.- « Tels sont nos points de vue et les espoirs, en tant que chrétiens, d' autre, si ce n'était pas, que devraient - ils faire qui sont baptisés en signe de leur embrasser la foi chrétienne dans la chambre des morts, qui viennent de tomber pour la cause du Christ, mais dont les places sont comblées par une succession de nouveaux convertis, qui s'offrent aussitôt pour leur succéder, comme des rangs de soldats qui s'avancent au combat dans la chambre de leurs compagnons, qui viennent de été tués dans leur combat.

Si la doctrine à laquelle je m'oppose est vraie et que les morts ne ressuscitent pas du tout, pourquoi sont-ils néanmoins ainsi baptisés dans la chambre des morts, comme étant joyeusement prêts, au péril de leur vie, à soutenir la cause de Jésus dans le monde ?" Il serait presque interminable d'énumérer, et bien plus de sonder, toutes les interprétations qui ont été données de cette phrase obscure, υπερ των νεκρων.

Il n'y a aucune raison de croire que la coutume superstitieuse, mentionnée par Épiphane, de baptiser une personne vivante, comme représentant une personne décédée non baptisée, soit ici mentionnée ; il est plus probable qu'elle ait résulté d'une erreur de ce passage que d'avoir été si tôt répandue. M. Cradock suppose que cela fait allusion au lavage des cadavres, cela ne convient pas à la grammaire, ni n'a vraiment de sens significatif.

Les chrétiens primitifs étaient habitués, en général, à réserver le baptême des adultes aux occasions solennelles, notamment à la Pentecôte. Mais il n'est pas du tout improbable que lorsque des chrétiens éminents sont morts, en particulier des martyrs, certains ont été choisis parmi les catéchumènes qui se préparaient au baptême, et, en l'honneur de ces saints éminents, et pour remplir leurs places, ont été baptisés pour le mort.

Le Dr Whitby, par les mots, pour les morts, comprend, "pour ce Jésus, qui, selon leur doctrine, doit encore être mort" ; et il observe que le pluriel οι νεκροι est fréquemment utilisé dans les Écritures, lorsqu'on parle d'une personne; et que la résurrectiondes morts en général, est mentionnée trois fois par cet apôtre, en parlant de la résurrection de Christ seul. Voir les Réflexions.

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