Le reste s'enfuit à Aphek, etc. Aphek était situé au Liban sur la rivière Adonis, entre Héliopolis et Biblos, et selon toute probabilité était le même dont Lucas parle, comme englouti dans un lac du mont Liban, d'environ neuf milles de circonférence. , où il y a plusieurs maisons, toutes entières, à voir sous l'eau. Le sol autour de cet endroit était très bitumineux, ce qui semble confirmer leur opinion qui pensent que le feu souterrain a consumé la substance solide de la terre sur laquelle se trouvait la ville, de sorte qu'elle s'est affaissée et a coulé à la fois, et un lac s'est bientôt formé à sa place . Et là, un mur est tombé, serait mieux rendu, et le mur est tombé,signifiant tout le mur de la ville; un événement qui peut être expliqué d'une manière naturelle, en supposant que les Syriens, après leur défaite, se rendirent à cette ville clôturée d'Aphek, et, désespérant de tout quartier, montèrent les murs, ou se retirèrent dans quelque château avec une résolution pour se défendre jusqu'au dernier, et que l'armée israélite, venant sur eux, sillonnait les murs du château de tous côtés si chaudement avec leurs batteries, qu'ils tombèrent à la fois ; et en tuant quelques-uns, en blessant d'autres, et en faisant disperser les autres avec peur, fit toute l'exécution que le texte prévoit.

Mais bien que l'événement puisse être ainsi expliqué, il est plus raisonnable de penser que Dieu à cette occasion a opéré un miracle, et soit par un tremblement de terre, soit par une soudaine tempête de vent, a renversé ce mur sur les Syriens ; et, en effet, si un moment était approprié pour que son bras tout-puissant s'interpose, ce fut celui-ci, lorsque ces gens blasphématoires avaient nié son pouvoir souverain et son autorité dans le gouvernement du monde, et l'avaient ainsi dans une certaine mesure obligé, en défense de son propre honneur, de leur en donner une pleine démonstration ; pour montrer qu'il était le Dieu des plaines aussi bien que des collines ; qu'il pouvait les détruire aussi efficacement dans des places fortes qu'en rase campagne, et faire de ces murs mêmes où ils se confiaient pour la défense, les instruments de leur ruine. Voir Patrick et Poole.

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