Cela a semblé bon au Saint-Esprit et à nous, bien que cela puisse inclure la décision que l'Esprit avait donnée par sa descente sur Corneille et ses amis, mais cela semble exprimer plus directement la conscience qu'avait cette assemblée d'être guidée par son influence sur leurs esprits dans leur détermination actuelle. Quand les apôtres appellent ces choses nécessaires, ils entendent, par une manière commune de parler, nécessaires pour ces temps et circonstances.

Ils étaient sans aucun doute nécessaires, afin de favoriser une libre conversation entre les chrétiens juifs et gentils, et surtout pour assurer la communion à la table du Seigneur ; où nous ne pouvons imaginer que des Juifs auraient mangé et bu avec des personnes qu'ils croyaient dans un état aussi pollué que ceux qui se livraient aux choses ici interdites. D'un autre côté, il semble que les Juifs, à ces conditions, aient renoncé à tout débat sur d'autres viandes interdites, ainsi que sur la circoncision, etc.

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