Cela a semblé bon au Saint-Esprit et à nous. À nous dans ces matières, où par les promesses de Christ, nous sommes dirigés par le Saint-Esprit, l'esprit de vérité, etc. --- Que ces choses nécessaires. Nécessaire en ce moment, et toujours, si l'on excepte cet ordre de s'abstenir du sang et des choses étranglées, qui n'était pas un précepte perpétuel et immuable, mais de ne durer qu'un temps, comme S.

observe Jean Chrysostome. (Witham) --- C'est le premier concile général tenu dans l'Église, et le modèle de tous ceux qui suivront. En elle, les apôtres, d'une manière autoritaire et autoritaire, ont établi la loi, qui devait être le guide des fidèles, sachant qu'ils avaient le droit d'imposer des règlements dans l'Église, et qu'ils ne pouvaient user de cette autorité que de bons desseins, dirigés comme ils l'étaient par l'esprit de vérité infaillible, que Christ avait promis (Matthieu xxviii.

20.) doit rester avec son Église pour toujours. D'où il semblerait que nous n'ayons pas plus de raison de refuser l'obéissance à la voix de l'Église à l'heure actuelle, qu'à son premier établissement : et que ceux qui n'entendraient pas l'Église maintenant, parlant dans ses conciles, se seraient les apôtres à cette occasion, avaient-ils vécu à l'époque. Par quel esprit de séduction a été introduite et répandue, à un degré si alarmant, l'opinion que le christianisme (dont le trait principal est d'entendre et d'obéir) autorise la liberté sans restriction ? L'autorité est-elle alors un mot vide de sens ? (Haydock)

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