Mais ils ne pouvaient pas lire l'écriture... Parce que, dit Houbigant, c'était écrit dans les anciens caractères samaritains, et tels qu'ils étaient employés sur leurs monnaies ; qui étaient fort dissemblables aux lettres chaldéennes : car ces trois recueils de trois phrases, Mene, Tekel, Peres, étaient tels qu'on les trouvait communément sur leurs monnaies.

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