Un homme irréfléchi est instable : « Celui dont les desseins sont partagés entre Dieu et le monde, et qui ne peut s'engager joyeusement et résolument, dans la confiance de l'appui divin, à être conduit où bon lui semble la Providence, est instable dans toutes ses voies. : il se heurtera perpétuellement à des incohérences de conduite ; et ces impressions de religion imparfaites et indéterminées qu'il ressent serviront plutôt à le troubler et à le tourmenter, qu'à le guider et à le sécuriser. » De plus, celui qui désire la fin doit désirer, ou du moins acquiescer pleinement, aux moyens nécessaires ; sinon, il est double d'esprit. Il le ferait, et il ne le ferait pas.

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