Il cracha par terre, etc. — Nous ne devons pas imaginer qu'il ait fait cela, car cela a contribué de quelque façon à la guérison. Comme les autres actions extérieures qui accompagnaient ses miracles, elle était destinée à signifier à l'aveugle, que sa vue lui venait, non par accident, mais par le don de la Personne qui lui parlait. La raison générale que Cyrille a attribuée au Christ touchant les lépreux, s'emparant des morts, soufflant sur les apôtres, lorsqu'il leur communiquait le Saint-Esprit, et telles actions corporelles semblables avec lesquelles il accompagnait ses miracles, peut être mentionnée ici. .

Il pense que le corps de notre Seigneur était, par l'habitation de la Divinité, doté d'une qualité vivifiante, pour montrer aux hommes d'une manière visible, que sa nature humaine n'était nullement à exclure de l'affaire de leur salut. Voir la note sur Marc 7:32 et les Inférences à la fin de ce chapitre.

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