Ver. 5. Et la frontière des enfants d'Éphraïm, etc. — Après avoir tracé les frontières sud, est et ouest de la tribu d'Éphraïm et de la demi-tribu de Manassé, en se référant au ch. Juges 17:7 la description de ses limites septentrionales, l'auteur procède à une désignation plus exacte de l'étendue des territoires d'Ephraïm ; et d'abord il énonce la largeur du sud au nord, ou les frontières nord-est à la partie la plus large : tout ce que nous pouvons dire concernant ce qui est, qu'Ataroth-addar était au sud, et le hautau nord-est de cette tribu. Nous ne devons nous attendre à aucun compte rendu satisfaisant concernant cet article : l'Histoire sacrée est trop concise pour être étendue maintenant, quand tout en Terre Sainte est transposé.

On ne peut guère rencontrer les ruines d'aucune de quelques villes qui y figuraient autrefois, ni en découvrir la moindre trace d'autres. Les crues qui ont arrosé certains endroits sont maintenant épuisées et sèches ; ses fleuves ont pris un autre cours : en un mot, ce n'est plus le même pays ; et là où les descriptions de l'Écriture sacrée ne sont pas circonstanciées de la manière la plus claire, nous ne pouvons les fournir que par des conjectures plus ou moins probables. Ici, par exemple, les commentateurs devinent plutôt que de conjecturer ; et c'est pourquoi nous préférons nous taire, à suivre une méthode si vague.

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