La belle-mère contre la fille, etc. — La belle-mère contre la femme de son fils, et la belle-fille contre la mère de son mari. C'est le rendu exact des mots originaux. Notre-Seigneur pourrait mentionner cette relation, car, en raison de l'obligation qu'avaient les enfants juifs d'entretenir leurs parents âgés, un jeune homme pouvait, lorsqu'il s'installait dans le monde, prendre souvent sa mère, si elle était veuve, dans sa famille. ; et sa demeure en elle pouvait occasionner moins d'inquiétude que celle d'une belle-mère dans un autre sens.

Ce verset et le précédent peuvent être compris comme exprimant tant de choses : « L'humanité accordera une si haute valeur à ma religion, qu'à cause d'elle, elle renoncera à l'amitié et à l'affection de ses relations les plus proches et les plus chères ; qui les persécutera amèrement, parce que ils ont abandonné leur culte paternel."

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