Ni l'un ni l'autre n'ont dit quoi que ce soit à qui que ce soit ; — Si ces paroles, conformes à ce que nous avons observé en Marc 16:5 doivent être interprétées comme signifiant qu'ils n'ont pas dit, tandis que leur terreur et leur étonnement continuaient, ce qu'ils avaient vu et entendu à certains qu'ils considéraient comme ils volent du sépulcre, il semble rationnel de conclure que ceux - ci étaient quelques - uns des disciples à qui ils ont reçu l' ordre de délivrer le message de l'ange, et à qui ils auraient probablement délivrai, avaient - ils pas été sous la plus grande perturbation de l'esprit.

Car si les personnes qu'ils voyaient avaient été autres que les disciples de Jésus, il est peu probable que saint Marc eût remarqué qu'ils n'avaient rien dit à personne ; car il est raisonnable d'imaginer qu'ils n'auraient pas, même s'ils n'avaient pas été effrayés, parlé du message de l'ange à d'autres que des disciples. Et comme le temps de la course de Pierre et Jean au sépulcre, au premier rapport de Marie-Madeleine, coïncide avec celui de ces femmes s'enfuyant, il n'est pas improbable une distance peut-être, et venant par une route différente au sépulcre ; surtout si l'on considère que, comme les paroles de St.

Mark, ni l'un ni l'autre n'a dit, &c. semblent porter avec eux une imputation de négligence sur ces femmes, bien qu'il l'explique et l'excuse en même temps, en ajoutant, car elles avaient peur ; — ainsi le même évangéliste nous a déjà informés, Marc 16:7 , qu'ils ont reçu l'ordre de l'ange de délivrer le message qu'il a donné, à Pierre en particulier. Voir pour une explication des versets suivants, les passages mentionnés dans les références marginales.

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