Celui qui trouble sa propre maison—C'est-à-dire, soit dissipe sa substance par l'extravagance, soit sème la division et la discorde parmi ses amis et ses relations. Lord Bacon prend cela pour un avertissement profitable touchant les discordes dans les familles et les ruptures domestiques [mais cela peut aussi bien s'appliquer à des royaumes entiers, qui sont des familles plus nombreuses]; que quiconque chérit parmi ses enfants, ou ses serviteurs, ou son peuple, comme un moyen de mieux gérer ses affaires quand ils se regardent mal et se détestent, voit souvent ses espoirs se transformer en vent. Car ces altérations et ces changements réussissent généralement mal, et ces perturbateurs de leurs propres familles rencontrent souvent des vexations et de l'ingratitude de la part de ces mêmes personnes qu'ils adoptent, en passant par d'autres, comme objets de leur faveur particulière : bien plus, par ce moyen, ils attirent souvent sur eux-mêmes de mauvais rapports et des rumeurs douteuses; car il n'est pas mal observé par Cicéron, que tous les rapports, bons et mauvais, viennent des domestiques ; quels deux maux Salomon exprime parhériter du vent : car la frustration des attentes et le déclenchement des rumeurs sont à juste titre comparés aux vents. Voir Discourse of Learning, comme ci-dessus, et chap. Proverbes 15:7 .

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