Mets une montre, ô Seigneur, etc. — M. Peters paraphrase ces deux versets ainsi : « Je vais maintenant chercher une retraite des persécutions de mon maître Saul, au milieu d'une race d'idolâtres, qui seront curieux d'observer tous mes paroles et actions, et tenteront de me faire pour avoir part avec eux dans leur culte des idoles, ou me soupçonnent comme un espion ou un ennemi, si je refuse de les respecter. Mais est - ce toi, ô Seigneur, mis une montre avant ma bouche, garde sur la porte de mes lèvres, afin que je ne puisse ni mettre en danger ma propre sécurité par ma voiture imprudente, ni violer ma religion par de faibles complaisances.

Préserve-moi du plus grand de tous les maux, le renoncement à suivre des dieux vains et étranges. Que je ne sois pas coupable de ce péché odieux et présomptueux, ni pas tant qu'en pensée. Que je déteste jouer l'hypocrite, en me joignant aux abominations des païens, mais seulement en apparence et en apparence : et que je ne sois jamais séduit par leurs rites succulents, ou leurs viandes luxueuses, pour me mêler à leurs fêtes religieuses. » Nous référez-vous à la critique laborieuse et ingénieuse du savant écrivain pour justifier cette paraphrase.

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