Car je serais libre de tous les hommes, .... En tant qu'apostle, étant dans le plus haut bureau de l'Église, il n'en avait plus supérieur à celui qui pourrait exercer un pouvoir et une autorité sur lui, et était également indépendant des hommes pour Son entretien, qu'il a obtenu par son main-d'œuvre à la main: bien que cela puisse être observé, que le mot "hommes" ne soit pas dans le texte original, et le mot "tout" peut aussi bien avoir des choses comme des hommes; Et le sens soit, qu'il était libre, à partir de la malédiction de la loi morale, donc du joug de la loi cérémonielle, et de tous les rituels de celui-ci, et pourrait, s'il ferait usage de sa liberté chrétienne; Les versets suivants semblent incliner à ce sens, car les précédents font à l'ancien:

Je me suis encore fait serviteur à tous; en prêchant fidèlement et indéfiniment l'évangile à eux; subissant toutes sortes d'affliction et de persécution pour cela et eux; se comporter à eux avec toute la douceur et l'humilité; condescendant à leur faiblesse et s'adaptant à leurs capacités et à leurs coutumes:

que je pourrais gagner plus; que d'autres apôtres aient fait, ou on pouvait raisonnablement penser qu'il devrait, s'était-il comporté de manière plus seigneur et dominateur: sa fin n'était pas d'amasser la richesse, de gagner des richesses et des trésors de bonnes choses à lui-même, mais beaucoup d'âmes à Christ, qui doit autrement avoir été perdu; Mais être amené à la connaissance du Christ et du salut par lui à travers son ministère, il leur fut un profit et gagne au Christ: la métaphore est tirée de marchands, qui ne ménage aucune douleur, mais prennent chaque méthode pour acquérir des gains et des bénéfices; Les ministres du mot sont des marchands spirituels, leur trafic réside dans les âmes des hommes, qu'ils sont soigneusement et avec impatience de porter au Christ.

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