Et l'homme comme ne pas prendre la femme de son frère, ... la disposition présentée ici par cette loi, alors que c'était le cas, est telle que cela n'a pas eu lieu avant de devenir une loi; Pour ensuite, Onan aurait pris l'avantage de cela et a refusé d'épouser la femme de son frère, que c'est la nature qui ne lui était pas agréable, Genèse 38: 9 ; comme beaucoup le font maintenant sur un compte ou un autre. Leo de Modena L dit,.

"C'était à l'ancienne, la chose la plus louable de l'emmener que de la libérer; mais maintenant la corruption de l'époque et la dureté des cœurs masculins, sont telles qu'elles ne s'occupent que des fins mondaines, soit des richesses, soit de la beauté de la femme; de ​​sorte qu'il y ait très peu de ce que dans ce cas, épousera la veuve d'un frère, en particulier parmi les Juifs néerlandais et italiens, mais ils la libèrent toujours: ''.

Puis laissez la femme de son frère monter à la porte; à la porte de la ville, où les juges sont assis pour les affaires publiques; à la porte du Sanhedrim, ou tribunal de la Judiciature, comme le Targum de Jonathan; Et cette affaire a été consciée par le banc de trois juges et pourrait être expédiée par eux; pour donc il est dit m,.

"La cueillette de la chaussure et le refus du mariage sont de trois:".

C'est-à-dire trois juges, qui était la cour de la Judiciature la plus basse avec les Juifs:

aux aînés et dites; qui, selon le tagum ci-dessus, c'était cinq hommes sages, dont trois devaient être des juges et deux témoins; Et elle devait dire dans la langue hébraïque, dans laquelle, selon le Misnah N, elle devait prononcer ce qui suit:

Le frère de mon mari refuse de susciter son frère un nom en Israël, il n'effectuera pas le devoir du frère de mon mari; C'est-à-dire dans quelques mots, il ne l'épousera pas.

L UT Supra, sect. 3. (Histoire des rites de Léo Modena, c. L. 1 Sect. 3.) M Mis. Sanhédrin, c. 1. Sect. 3. N Sotah, c. 7. Sect. 2.

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