Si son maître lui a donné une femme, une de ses esclaves, une femme canaanitière, exprès pour engendrer des esclaves sur elle, car tous nés dans sa maison étaient les siens; Ceci est censé être après qu'il était entré dans sa maison et dans son service:

et elle l'a noué des fils ou des filles; Comme elle l'aurait peut-être nouée plusieurs de la seule sorte, ou l'autre, si elle lui avait été donnée rapidement après sa servitude:

La femme et ses enfants seront sa maîtrise: elle étant son esclave et acheté avec son argent, il lui avait eu l'impression, et aux enfants qui lui appartenaient, la naissance suivant le ventre; Et être né dans sa maison, ils étaient aussi le sien. Jarchi ici observe, que les Écritures parlent d'une femme canaanitière, pour une femme hébraïque sortit à la sixième année et même avant la sixième, si elle produisait les signes, c'est-à-dire de la puberté:

et il va sortir seul; Sans son épouse et ses enfants: s'il est opposé à cette loi, il est contraire à la loi du mariage, qui est indissoluble, mais par cela dissoute; On peut répondre que le serviteur n'était pas obligé de quitter sa femme, à moins qu'il ne l'a choisi; En se conformant à certaines conditions après mentionnée, il pourrait continuer avec elle; En outre, elle était, selon Jarchi, mais sa femme secondaire, et non seulement le mariage n'était pas légale, étant avec une femme canaanitière et non agréable au Seigneur; Et étant aussi l'esclave de son maître, à qui il avait droit, il pouvait la conserver s'il est ravi, lui donnant seulement sa servante à son serviteur pour qu'il fût des esclaves pour lui.

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