Et s'il sanctifie qu'il rachetait sa maison, ... une maison distinguée pour des utilisations saintes pourrait être rachetée, soit par une autre payant le prix fixé par le prêtre, soit par le propriétaire original de la part d'une cinquième partie. Suite; Et c'était le cas, que ce soit des maisons dans des villes fortifiées ou dans des villages: alors Maimonides dit,.

"Celui qui sanctifie sa maison, que ce soit l'un de ceux des villes fortifiées, ou de ceux des villages, il peut être toujours racheté; il qui le redésique sur la main de la sainteté (ou qui a été sanctifié), s'il est une maison dans une ville fortifiée et reste en possession des douze mois de Rédempteur, c'est absolument le sien; mais s'il s'agit d'une maison dans les villages et que le jubilé vient, et c'est en possession du Rédempteur, il retourne à son propriétaire dans le jubilé b: ''.

mais si le propriétaire d'avoir eu l'esprit de le racheter après qu'il l'avait dévoué,.

Ensuite, il ajoutera la cinquième [partie] de l'argent de votre estimation à cela, et ce sera son; C'est-à-dire qu'il devait donner une cinquième partie de plus pour la maison que celle valorisée par le prêtre ou qu'un autre pourrait l'avoir pour; La raison en était, de faire attention aux hommes de la manière dont ils ont sanctifié ou ont vouvé leurs maisons ou leurs biens et qu'il pourrait être certain que la valeur totale ait été donnée pour cela, la valeur du prêtre pourrait ne pas savoir si bien que le propriétaire, et ce dernier, prêt à donner le prix fixé par le premier, pourrait lui suspendre; C'est pourquoi, afin d'avoir tout le prix de celui-ci avec certitude et de définir une grande valeur sur les choses consacrées, le propriétaire était de donner une cinquième partie plus que l'estimation de celle-ci: par exemple, si une maison ainsi consacrée était Valued par le prêtre au prix d'une centaine de livres, le propriétaire a été obligé, s'il l'échangeait pour donner une centaine de livres.

b hilchot eracin, c. 5. Sect. 3, 4.

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