Dire, maître, ... le rabbin ou le médecin, comme il l'était généralement appelé;

Moïse dit, dans Deutéronome 25: 5 .

Si un homme meurt n'a pas d'enfants, son frère épousera sa femme et lève la graine à son frère; qui, bien que non exprimé dans les mêmes mots, n'est pas le sens du passage mentionné et était une pratique utilisée avant l'heure de Moïse, comme l'apparaît du cas d'ER et d'Onan; la conception de laquelle était, de préserver les familles et de garder leurs héritages distinctes et entières. Cette loi n'a eu lieu que lorsqu'un homme est mort sans enfants; Car s'il partit des enfants, son frère n'avait pas besoin de marier sa femme; oui, comme un écrivain juif observe X, elle était interdite, elle n'était pas légale pour lui de l'épouser et était le cas s'il avait des enfants de sexe, ni même de petits-enfants: comme un autre de leurs commentateurs notes y, son ayant Aucun enfant, Cordialement un fils ou une fille, ni le fils d'un fils, ou le fils d'une fille, ou la fille de la fille; Et c'était l'aîné des frères, ou celui qui était la prochaine année au défunt, qui a été obligé par cette loi Z, mais pas s'il avait une femme de la sienne; Et en conséquence, dans l'affaire suivante proposée, chacun des frères a épousé la femme du frère aîné à leur tour, selon le cours de l'ancienneté; Et par cette loi, le premier enfant né après ce mariage, a été estimé à la graine du défunt et était héritière de son héritage. Les Juifs de leur malna ou de la législation buccale ont une totalité de ce sujet sur ce sujet, appelé Yebamot, qui contient diverses règles et directions, pour le bon respect de cette loi.

x Aben Ezra à Deut. xxv. 5. Y Jarchi à IB. Vid. Maimon. Hilch. Yebum, c. 1. Sect. 3. Z Jarchi en Deut. xxv. 5. Mis. Yebamot, c. 2. Sect. 8. 4, 5. Maimon. Hilch. Yebum, c. 2. Sect. 6.

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