Une femme vertueuse [est] une couronne à son mari, ... une personne qui est aimante et chaste, constante et fidèle, obséquesse et qui lui est soulevée; C'est diligent dans les affaires de sa maison, prend soin de sa famille, monte ses enfants et conserve un bon ordre et décorum parmi ses serviteurs, est un honneur et un crédit à son mari. Telle est la vraie église du Christ, comparée à une femme, Apocalypse 12: 1 ; à une femme de pureté et de chasteté, dont les députés sont des vierges, non souillées avec les corruptions, les erreurs et la superstition de l'Église d'apostat; À une femme de courage et de courage, comme le mot m signifie, qui résiste au péché, à la tentation, à une erreur, à l'hérésie et à l'idolâtrie, même du sang; et dont les vrais membres n'aiment pas leur vie à la mort, mais les pose librement dans la cause de la vérité; Un tel est un honneur à Christ son mari;

Mais elle qui fait honte. Donne son mari honteux, par sa légèreté et sa sauvéness, sa négligence et sa négligence, de sorte qu'il a honte d'être vu avec elle ou d'être connu qu'il se trouve dans une telle relation avec elle; elle.

[est] comme une pourriture dans ses os; un chagrin constant à son esprit, une pression sur ses esprits, une gaspillage de son corps et une consommation de son domaine; Comme le targum l'a fait, "comme un ver en bois", qui va chercher et la consomme n; Donc, les versions septuerie, syriaque et arabe. Ainsi, l'église apostate de Rome, qui prétend être le conjoint de Christ, l'a rendu honteux d'elle; comme étant le Jézabel, qui séduit ses serviteurs à la fornication ou à l'idolâtrie; Et dont la doctrine et la superstition mangent, comme un chancre, les valeurs de la religion.

m אשת חיל "Mulier Virtutis", Montanus, Vatable; "Uxor Strenua", Junius Tremellius, Piscator, Cocceius "Mulier Fortis", Pagninus, Gejerus. n tels que s'appelle Cossi, Tabani, Teredines, Thypes; Plin. Nat. Hist. l. 1. c. 33. l. 16. c. 41.

Continue après la publicité
Continue après la publicité