(16) Et voici [est] l'esprit qui a la sagesse. Les (c) sept têtes (17) sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise.

(16) Une exhortation préparant aux lecteurs dans le même argument, que celui du Christ "Celui qui a des oreilles pour entendre qu'il entende". Je lirais plutôt dans ce passage "Qu'il y ait ici un esprit, etc". L'ange passe donc à la deuxième place de cette description.

(c) Les enfants savent ce qu'est la ville aux sept collines, dont on parle tant, et où Virgile rapporte ainsi, "Et entoure sept tours dans un mur", cette ville c'est, qui quand Jean a écrit ces choses, avait la règle sur les rois de la terre. Elle l'était et n'est pas, et pourtant elle l'est encore aujourd'hui, mais elle est en train de décliner vers la destruction.

(17) C'est la description de la bête par les choses présentes (comme je l'ai déjà dit) par laquelle Jean s'est efforcé de décrire la même chose, afin qu'il puisse être à la fois connu des pieux à cet âge, et être davantage observé et marqué de la postérité par la suite. . Cette délimitation a une pointe, c'est-à-dire ses têtes, mais une double description ou application du type : l'une permanente, de la nature elle-même, l'autre changeante, par le travail des hommes.

La description permanente, est par les sept collines, dans ce verset, l'autre qui fuit, est des sept rois, ( Apocalypse 17:10 ). Ici, il vaut la peine d'être observé qu'un type a parfois deux ou plusieurs applications, comme il semble bon au Saint-Esprit de l'exprimer, soit une chose par divers types, soit diverses choses par un type.

J'ai donc noté avant les sept esprits dans Voir Apocalypse 1:4 . Or, cette femme assise sur sept collines, est la ville de Rome, appelée autrefois par les Grecs, "sur une colline" i. de sept sommets ou crêtes et par Varro, "septiceps" i. de ses sept têtes (comme ici) de sept têtes, et par d'autres, "septem collis" i. debout sur sept collines.

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