RÉFLEXIONS

Je m'arrêterais sur ce délicieux chapitre, que le Saint-Esprit a gracieusement fait écrire pour l'édification de l'Église ; et dans l'appel de Samuel, le désir de bénir Dieu pour toutes les premières manifestations qu'il a plu au Seigneur de faire à son peuple.

Qui peut oser remettre en cause l'œuvre de Dieu, sur le cœur de son peuple, quand dans le cas d'un enfant comme Samuel, nous voyons que les œuvres se manifestent de manière si frappante, et à un moment où le riche participant de cette grâce indicible , ne connaissait pas le Seigneur, et était inconscient de ce que la grâce signifiait. Que n'importe quel lecteur compare la différence frappante entre le vieil Eli et le jeune enfant Samuel : Et qu'il détermine ensuite, (car je le laisse à sa propre décision) ce qui, à part la grâce, aurait pu faire toute cette différence.

Si le Lecteur fait partie de la partie jeune de l'humanité, qu'il réfléchisse aux manifestations bénies enregistrées ici, qui ont été faites à Samuel. Et n'êtes-vous pas impatient, dirais-je, mon jeune ami, d'en profiter ? Ne sentez-vous pas la prière qui monte, dans l'âme ; Seigneur, manifeste-toi à moi ! sinon d'une manière si splendide, du moins d'une manière si gracieuse, quant à Samuel, afin que je puisse aussi participer à la grâce qui est en Jésus-Christ !

Et que le plus âgé de mes lecteurs ne ferme pas le livre et ne prenne congé de ce chapitre sans avoir d'abord baissé le genou en prière ou en louange. En prière ; s'il en est ainsi, qu'aucune preuve de la vie renouvelée ne se trouve dans sa propre expérience ; que le même Dieu, qui a appelé Samuel, l'appellerait, bien qu'à la onzième heure ; et en louanges ; si le Seigneur s'est manifesté, comme dans le cas de Samuel, à son âme, autrement qu'il ne le fait à la parole.

Seigneur béni ! aide mon âme à te louer, sous l'humble espérance et assurance, que tu m'as appelé des ténèbres dans cette merveilleuse lumière, et m'a fait passer de la puissance de Satan, dans le royaume de ton cher Fils ; en qui nous avons la rédemption par son sang, même le pardon des péchés.

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