On dit que les magistrats juifs étaient très attentifs à l'observation de cette loi, et qu'une fois par an, un jour était mis à part pour examiner si les chemins qui menaient aux villes de refuge étaient en bon état et libres de tout obstacle. ; et pour que le pauvre fugitif qui fuyait le vengeur ne fût pas embarrassé pour connaître le chemin, un poteau de direction fut placé au coin de la route menant à ces villes, avec le mot Miklat, c'est-à-dire refuge, gravé en grosses lettres dessus.

Que cela soit littéralement vrai, je ne prétends pas le dire ; mais une chose que je sais, les ministres de l'évangile doivent être très diligents à voir, non seulement un jour par an, mais chaque jour et toute la journée, qu'aucune pierre d'achoppement ne soit placée sur le chemin d'un pauvre pécheur, qui est fuyant vers JÉSUS pour sa vie. Oh, toi, cher Rédempteur ! qu'il est bon que nos côtes soient si divisées dans notre pays, qu'il y ait une ouverture pour toi dans ton sang et ta justice ! Béni soit le SEIGNEUR ! sa parole est proche de nous, et son invitation résonne à jamais à nos oreilles.

Oh!, pour que la grâce fuie vers toi, AGNEAU de DIEU qui ôte le péché de ton peuple. Romains 10:8 ; Jean 1:29 .

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