(1) В¶ Alors Job répondit et dit: (2) J'ai entendu beaucoup de choses de ce genre: vous êtes tous de misérables consolateurs.

La réplique que Job fait sur Eliphaz, est du même montant qu'avant. Il avait déjà entendu beaucoup de raisonnements du même genre ; mais que peut faire le raisonnement pour apaiser les chagrins d'un cœur lourd. Il avait dit auparavant à Eliphaz et à ses compagnons, qu'ils étaient des médecins sans valeur, (chap. 13:4.) et ici il ajoute qu'ils étaient de misérables consolateurs. Mais, lecteur ! n'est pas le même genre d'observation encore plus applicable, lorsqu'il est considéré comme se référant à une âme cherchant le salut ; à un pécheur éveillé, qui est vraiment désireux d'être informé sur la façon de trouver la paix avec DIEU : ne sont-ils pas ces misérables consolateurs, qui enverraient la pauvre créature affligée à ses meilleurs efforts, à son repentir, à ses larmes, etc., au lieu de diriger lui à JÉSUS, à l'amour et à la miséricorde pardonnant de DIEU dans le sang et la justice de son cher Fils, et aux doux conforts et influences du SAINT-ESPRIT ? Quoi de plus clair qu'un pécheur coupable a besoin d'un saint Sauveur ? et à moins de cela, l'âme chercheuse manque de tout ! Précieux AGNEAU de DIEU ! sois ma consolation, car sans toi je serais malheureux à jamais.

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