Je ne saurais entrer dans le sujet de ce chapitre sans inviter encore et encore le Lecteur à prêter attention à la très précieuse doctrine voilée sous la nomination de cette ville de refuge. Son importance ne peut pas être plus fortement impliquée que dans l'avis fréquent qu'en fait Moïse. L'homme de Dieu était si particulier dans le suivi des commandements du Seigneur à son sujet, que nous le trouvons dans de nombreux endroits.

Exode 21:13 ; Nombres 35:6 ; Deutéronome 19:1 ; Deutéronome 19:1 .

Et pourtant, cela ne doit pas être négligé dans le livre de Josué. Qu'il est délicieux de voir une telle provision dans la miséricorde gracieuse de Dieu ! Mais ce n'est pas le point principal du sujet que je souhaite que le lecteur remarque. Si la disposition miséricordieuse prise par le Seigneur pour l'effusion de sang involontaire, avait été la seule chose prévue à partir de la nomination de ces villes de refuge, sûrement une cour d'enquête parmi les anciens d'Israël, aurait répondu à tous les objectifs, en acquittant des personnes innocentes sur ces occasions.

Cela ne frappe-t-il donc pas l'esprit avec une pleine conviction que tout cela était typique de quelque chose de plus grand ? Et qu'est-ce qui est aussi probable que celui de représenter le grand abri et la délivrance aux pécheurs de l'effusion de sang de nos pauvres âmes, quand par l'incrédulité et le péché nous nous détruisons involontairement. Très cher Jésus ! à quel point es-tu indiqué ici comme le refuge de ton peuple, et vers quelle forte consolation avons-nous tous de fuir, à l'abri de ton sang et de ta justice ? Hébreux 6:18 .

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