Engendrez la vente ; soit son fils, soit son petit-fils, par Caïnan. Voir Luc iii. 36, où nous examinerons cette question ; aussi chap. xi. 12. Les copies de la Septante encore existantes, toutes affirment que Caïnan était le fils d'Arphaxad, dans tous les endroits où ils sont mentionnés, à la fois dans la Genèse et les Chroniques ; et bien que certains s'efforcent de prouver qu'il s'agit d'une interpolation, insérée par une main postérieure, il est certain qu'elle a été trouvée dans la Septante à l'époque de St.

Luc, qui le confirme par son autorité, comme en témoignent tous les exemplaires grecs et latins, à l'exception d'un très défectueux qui appartenait à Bèze et se trouve maintenant à Cambridge. Beza a eu l'audace d'effacer le nom. Mais avant de permettre cette liberté, nous devons savoir comment saint Luc a pu adopter une telle erreur, étant, comme il l'était, sous la direction du Saint-Esprit ! Voir Salien, &c. (Haydock) --- Mariana affirme que les copies hébraïques ont été viciées.

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