Vous avez oublié la consolation, etc. Il leur rappelle que cela doit être un sujet de grande consolation pour eux, que Dieu les appelle ses enfants, ses fils, et les traite comme ses vrais et légitimes enfants, quand il les exhorte à vivre sous la discipline et l'obéissance à lui, quand, pour corriger leurs voies désobéissantes et pécheresses, il envoie les afflictions et les persécutions dans ce monde, qu'ils doivent considérer comme des marques de sa tendresse paternelle ; car c'est ce que fait un père prudent et bon à ses enfants légitimes, dont il prend le plus grand soin : et ne pas user de ces corrections, c'est les négliger, comme s'ils étaient des enfants illégitimes.

Nous vénérons le père de notre chair, (v. 10.) nos parents dans ce monde, quand ils nous instruisent et nous corrigent, combien plus devons-nous obéir au Père et Créateur des esprits, (c'est-à-dire de nos âmes) qu'étant vraiment sanctifiés par lui, nous pouvons vivre et obtenir la vie éternelle. (Avec H)

[BIBLIOGRAPHIE]

adulterini, non germani filii.

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