Il y avait un certain riche, etc. Par cette parabole, notre Sauveur conseille à ses disciples d'accompagner leurs œuvres pénitentielles d'actes de miséricorde envers les pauvres. (Ven. Bède) --- Il y a une certaine opinion erronée, qui est assez généralement répandue parmi l'humanité, et qui tend à augmenter les crimes et à diminuer les bonnes œuvres : et c'est la folle persuasion que les hommes ne sont responsables devant personne. , et que nous pouvons disposer à notre guise des choses en notre possession.

(Saint Jean Chrysostome) --- Alors que nous sommes ici informés, que nous ne sommes que les dispensateurs de la propriété d'autrui, à savoir. Dieux. (Saint Ambroise) --- Lorsque, par conséquent, nous l'employons non selon la volonté de notre Maître, mais que nous le gaspillons et le gaspillons dans le plaisir et dans la satisfaction de nos passions, nous sommes, sans aucun doute, des intendants injustes . (Theophylactus) --- Et un compte rendu strict sera exigé de ce que nous avons ainsi dissipé, par notre Seigneur et Maître commun.

Si donc nous ne sommes que les intendants de ce que nous possédons, chassons de notre esprit ce qui signifie mépris et orgueil que la splendeur extérieure des richesses est si apte à inspirer ; et revêtons l'humilité, la modestie des intendants, sachant bien qu'à qui on donne beaucoup, il faudra beaucoup. L'abondance des richesses ne rend pas un homme grand, mais le fait de les distribuer selon la volonté et l'intention de son employeur.

(Haydock) --- L'intention de cette parabole, est de montrer quel usage chacun doit faire des biens que Dieu a confiés à sa charge. Dans les trois anciennes paraboles, adressées aux scribes et aux pharisiens murmurants, notre Sauveur montre avec quelle bonté il cherche le salut et la conversion d'un pécheur ; en cela, il enseigne comment le pécheur, une fois converti, doit correspondre à sa vocation, et conserver avec un grand soin la bénédiction inestimable de l'innocence.

(Calmet) --- Un intendant, &c. La parabole nous rappelle que, que les hommes soient toujours aussi riches ou puissants dans ce monde, Dieu est toujours leur maître ; ils sont ses serviteurs et doivent lui rendre compte de la manière dont ils ont géré ses dons et ses faveurs ; c'est-à-dire toutes les choses qu'ils ont eues dans ce monde. (Avec H)

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