L'homme [1] comme des arbres marchant. Dans le texte latin, marcher peut s'accorder soit avec les hommes, soit avec les arbres, mais le grec montre que la marche doit être rapportée aux hommes. Peut-être Christ a-t-il ainsi rendu la vue à l'homme peu à peu, pour le rendre plus sensible au bienfait ; ou pour nous enseigner combien la conversion d'un pécheur est difficile ; dont c'était un chiffre. (Avec H)

[BIBLIOGRAPHIE]

Vidéo homines velut arbores ambulantes, grec : Blepo taus anthropous os dendra peripatountas.

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