Nouvelle lune de Tisri, Lévitique xxiii. 24. --- Noté. Hébreu, "dans l'obscur, au jour de notre solennité". (Calmet) --- Protestants, "au temps fixé, en notre fête solennelle". Cose peut désigner « obscur ou nommé ; » (Saint-Jérôme) "au milieu du mois" ; (Haydock) qui fait allusion à la fête des tabernacles, quand les Juifs habitaient à l'ombre de tentes, faites de branchages. Cette fête était considérée comme « la plus sainte et la plus grande » de leurs fêtes.

(Josephus, [Antiquités ?] viii. 2.) (Nombres xxix. 12., et Proverbes vii. 20.) (Calmet) --- Il peut également être expliqué de la nouvelle lune de Tisri, (Ménochius) lorsque le peuple ont été avertis du début de l'année civile, ou des trois grandes fêtes à célébrer alors, peut-être (Haydock) en mémoire de la création du monde, à cette saison. (Berthier) --- Avec quel soin ne devons-nous donc pas célébrer les fêtes chrétiennes, qui sont instituées pour exciter notre reconnaissance pour de plus grands bienfaits ! (Haydock) --- Les jours des nouvelles lunes (Nombres xxviii.

11.) ont été consacrés, pour reconnaître la providence constante de Dieu; et celui de Tisri en particulier, (Nombres xxix. 1.) pour le remercier de la préservation d'Isaac, Genèse xxii. 18. (Worthington) --- Mais le jour du Seigneur nous rappelle non seulement la création du monde, mais aussi sa rédemption, etc., Romains iv. 25. (Berthier)

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