Jour. Ni les attaques ouvertes, ni les accidents imprévus ne prévalent. (Calme) --- Affaires. Dabar hébreu , "chose", v. 3., "la peste". (St. Jérôme) (Haydock) --- Les Hébreux supposent qu'un ange préside à la mort pendant le jour et un autre pendant la nuit ; ou que divers démons envoient des maladies à ces différents moments. --- Invasion. Septante et vieil italique, ont, "ruine". --- St.

Jérôme, après Aquila, « de la morsure de celui qui fait rage, grec : damonizontos, à midi. Keteb, (Haydock) selon l'ancienne tradition des Juifs, désigne l'un des diables les plus audacieux, qui attaque en plein jour, et cherche aucune aide de l'artisanat nocturne. (Genebrard) Le psalmiste peut faire allusion à ces notions populaires, (Theodoret; St. Jérôme) qui étaient répandues parmi les païens. (Theocrite. Idyl. i.

; Lucan iii.) (Calmet) --- Tu ne craindras aucun danger du jour ou de la nuit, (Bellarmine) ni aucun qui trouble la vie de l'homme. (Scaligers, ep. ip 95.) --- Cet auteur se trompe, lorsqu'il suppose que Keteb est rendu diable. (Amama) --- Il pourrait aussi demander comment les Chaldéens, Aquilas et Symmaque en sont venus à découvrir que le diable est mentionné ici, ainsi que la Septante ? (Berthier) --- Ceux-ci semblent avoir lu ussod, "et le diable", au lieu de issud, "de la destruction qui ravage", (Amama) vastabit.

(Montanus) (Haydock) --- Mais en admettant que la Septante, etc., soient exactes, qu'entend-on par ce diable ? Saint Pierre semble expliquer l'idée, lorsqu'il nous exhorte à la sobriété, 1 Pierre v. 8. (Berthier) --- Les violentes tentations de la paresse, (Saint Athanase) ou l'impureté, (Théodoret) ou les persécutions contre les fidèles , peut être signifié. Quatre sortes d'attaques différentes semblent être désignées. 1. Comme agresser les ignorants avec les peurs de la nuit, les tentant de sécuriser leurs biens temporels, alors qu'ils ne pensent pas à un malheur éternel imminent.

2. D'autres sont attaqués avec les flèches dans la journée, et menacés de mort, qu'ils savent qu'ils devraient plutôt endurer, que d'abandonner leur foi. 3. L'affaire, etc., imite quelque tentation douloureuse mais latente, comme lorsque les fidèles sont persuadés de prêter un serment illégal. 4. Mais l'attaque la plus grande et la plus manifeste est appelée invasion, etc., lorsque les persécuteurs attaquent ceux qui adhèrent à la vraie foi avec une succession de tourments et d'arguments subtils, qui ont été l'occasion de la chute de beaucoup, qui avait résisté aux attaques précédentes.

Pourtant, aucun d'eux ne cède, mais par leur propre faute, confiant en eux-mêmes et non en Dieu. (St. Augustine) (Worthington) --- Midi. Grotius explique cela de la chaleur du soleil, qui est très dangereuse pour les voyageurs en Palestine. (Calme)

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