En attendant la bienheureuse espérance ; pour le bonheur des bienheureux du ciel, promis et espéré. --- Et la venue de la gloire du grand Dieu, [5] et de notre Sauveur Jésus-Christ. Le titre de grand Dieu, dit le Dr Wells, est ici référé à notre Sauveur Jésus-Christ, par Clément d'Alexandrie in protreptico, chap. vi. Il aurait pu ajouter, et du consentement général des Pères grecs et latins.

Saint Jean Chrysostome s'écrie : « où sont maintenant ceux qui disent que le Fils est inférieur au Père ? Saint Jérôme de la même manière : « où est le serpent Arius ? où est le serpent Eunomius ? Et que ce titre de grand Dieu est ici donné à Jésus-Christ, cela ressort du texte lui-même, surtout en grec ; car la venue et l'apparition glorieuses, dans d'autres lieux de saint Paul, sont toujours utilisées pour signifier la venue du Christ pour juger le monde.

Deuxièmement, dans la mesure où un seul et même article grec tombe sur le grand Dieu et notre Sauveur Christ ; de sorte que même M. Simon, dans une note sur ces mots, dit que la construction est, et la venue de Jésus-Christ, le grand Dieu, notre Sauveur, et blâme Érasme et Grotius de prétendre que cet endroit n'est pas une réfutation des ariens . (Avec H)

[BIBLIOGRAPHIE]

Adventum gloriæ magni Dei, et Salvatoris nostri Jesu Christi; Grec : epiphaneian tes doxes tou megalou Theou kai Soteros emon Iesou Christou. Saint Jean Chrysostome, (p. 401. lin. 43.) Grec : pou eisin oi tou Patros, elattona ton uion legontes. Saint Jérôme, "Ubi est serpens Arius? ubi est Eunomius coluber?" Saint Paul utilise le grec : epiphaneian pour la venue du Christ en jugement. Le même article grec est mis ainsi, grec : tou megalou Theou, kai Soteros, et non grec : kai tou Soteros.

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