Jaebets, poussant sa prière sous la forme d'un vœu alors qu'il entrait dans un service important appelé le Dieu d'Israël, en disant: Oh, si tu me bénis, et agrandira ma côte, étendant ses limites, et que Ta main pourrait être avec moi, et que tu me préserves du mal, littéralement, " mets-moi du mal ", afin qu'il ne m'afflige pas, littéralement, " que je n'aie plus de chagrin ! La forme rhétorique de la phrase est un vœu promettant l'allégeance au vrai Dieu, et Dieu lui accorda ce qu'il demandait, exauçant sa prière et faisant prospérer ses efforts, comme il le fait pour toutes les prières faites selon sa volonté.

Continue après la publicité
Continue après la publicité