Les eaux, le fait qu'il ait grandi dans un endroit bien arrosé, le rendaient grand, l'abîme l'a élevé en haut avec ses rivières qui coulaient autour de ses plantes, littéralement, « concernant les ruisseaux du déluge, elle faisait le tour sa plantation", c'est-à-dire à l'endroit où se trouvait le cèdre, et envoya ses petites rivières, les plus petits ruisseaux d'irrigation, vers tous les arbres du champ.

Le cèdre assyrien bénéficiait ainsi en premier et plein profit de la force fertilisante du ruisseau, les autres arbres étant obligés de se contenter de canaux plus petits. L'Assyrie a été bénie bien au-dessus de toutes les nations dans la prospérité matérielle de toute sorte.

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