Et les ânes sauvages se tenaient dans les hauteurs, les collines nues les plus exposées au vent, ils reniflaient le vent comme des dragons, comme des chacals, cherchant avidement une bouffée d'air frais ; leurs yeux tombèrent en panne, incapables de trouver un seul brin d'herbe verte, car il n'y avait pas d'herbe.

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