Car la mort monte par nos fenêtres, à l'improviste, furtivement, comme un voleur dans la nuit, et entre dans nos palais, car les soldats de l'armée d'invasion, trouvant les portes barrées, y entreraient par des ouvertures qui ne sont pas si fermement barré, pour couper les enfants du dehors, ceux qui jouaient dans les rues et sur les places, et les jeunes gens des rues. Ainsi la mort prendrait sa moisson à la fois dans les maisons et dehors, dans les rues et les marchés.

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