Et il leur promit et chercha l'occasion de le leur trahir en l'absence de la multitude.

A l'origine, le jour de la Pâque proprement dit avait été distingué des Jours des Pains sans Levain, mais au cours du temps les noms ont été utilisés sans discrimination, tout le 14 e

de Nisan étant compté avec la fête des pains sans levain. La Pâque a fusionné avec le festival suivant, et les deux étaient considérés comme un. Cette fête était maintenant proche ; pour sa célébration, les pèlerins se pressaient à Jérusalem depuis quelque temps. Chaque jour, la haine des principaux sacrificateurs et des scribes contre Jésus augmentait. Mardi, ils lui auraient volontiers imposé des mains meurtrières, n'étant retenus que par leur peur du peuple.

Et le mercredi matin, ils avaient déterminé qu'Il devait être écarté, qu'Il devait mourir. Pourtant, leur peur des gens, qui s'accrochaient à chaque mot que Jésus prononçait, les empêchait d'actes de violence ouverts. Ils conclurent qu'il valait mieux ne pas faire le dernier pas décisif avant la fête, mais saisir la première occasion favorable après, après que la majorité ou tous les pèlerins seraient rentrés chez eux.

Voir Marc 14:2 ; Matthieu 26:5 . En attendant, ils ont reçu la promesse d'une assistance d'un côté inattendu. Car Satan était entré dans Judas, qui s'appelait Iscariote. Bien que cet homme fût l'un des Douze, il avait ouvert son cœur à l'amour de l'argent, il s'était laissé aller à la convoitise, il était devenu un voleur, il avait rejeté toutes les remontrances sérieuses que le Seigneur lui avait adressées au cours de la dernière jours.

Le diable de l'avarice avait tellement pris possession de son cœur qu'il s'est délibérément éloigné des autres et a eu une conférence avec les principaux sacrificateurs et les chefs, les chefs du Temple veillent. Il entra en négociation avec eux, marchandant avec eux à la manière des avares. De la manière de la trahison, il était assez certain, n'ayant besoin que de l'heure et du lieu. Mais pour Judas, la motivation principale et la récompense étaient le point le plus important.

Même dans leur joie du succès probable de leurs projets, les grands prêtres n'ignoraient pas la faiblesse de la convoitise. On lui présentait, comme prix de la trahison, l'argent, prix ordinaire d'un esclave. Et ainsi Judas s'est lié à ces ennemis de son Seigneur avec sa promesse, et à partir de cette heure a guetté chaque occasion pour une bonne chance de leur livrer Christ sans le peuple, à un moment et dans des circonstances où il n'y aurait aucun danger d'interférence sur la part des foules de pèlerins.

Remarque : Judas est un type de beaucoup de chrétiens qui permet au diable de s'emparer de son cœur pour le remplir de convoitise. C'est un prix triste et misérable pour lequel de nombreux confesseurs de Jésus ont trahi leur Seigneur, une position mieux rémunérée, un plus grand honneur devant les hommes, -la faveur évanescente et éphémère du monde. Malheur à ceux qui suivent Judas !

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