Quand Jésus vit leur foi, il dit aux paralysés : Fils, que tes péchés te soient pardonnés.

Pendant que Jésus était dans la maison et que les conditions étaient telles qu'à peine une autre personne pouvait être coincée entre la foule, des hommes sont venus qui ont amené ou transporté un paralytique. La maladie était si grave et la faiblesse de l'homme qui en résultait était si grande qu'il ne pouvait ni être conduit ni soutenu dans une position verticale. Il était allongé sur un canapé ou un canapé ressemblant à un hamac, qui était porté par quatre hommes. Il était hors de question de s'approcher du Christ, de s'approcher de Lui.

La foule a effectivement bloqué la porte. Mais ces hommes n'étaient ni consternés ni déconcertés. Montant leur précieux fardeau dans l'escalier qui, selon la coutume des Juifs, menait du sol sur le côté au toit plat, ils se mirent à découvrir le toit au-dessus de l'endroit où se tenait Jésus, autant qu'ils pouvaient estimer le emplacement. Ici, ils ont enlevé les tuiles, faisant une ouverture assez grande pour permettre l'abaissement du lit avec son occupant devant les pieds de Jésus.

Il ne doit jamais y avoir un manque de détermination de la part des hommes qui veulent réellement porter une question à l'attention de Jésus. Vous pouvez vous éloigner pour Lui faire connaître vos désirs, s'il y a la persistance d'une foi ferme pour montrer la voie. Remarque : C'est ce que Jésus recherchait dès que le malade fut placé devant lui, la foi de tous, la confiance indubitable qu'il pouvait et aiderait dans cette grande détresse, puisqu'il était le Messie, qui était venu à ôtez le péché, avec sa culpabilité et avec sa malédiction.

Il faut aussi se souvenir : les gémissements d'intercession du cœur pour le trouble de tout ami ou de toute personne dans le monde ont une grande puissance avec Christ, lorsqu'ils découlent d'un cœur plein de foi en Lui. C'est donc prouvé dans ce cas. Car la première assurance de Jésus était celle adressée au malade : Fils, que tes péchés soient pardonnés. C'était une nouvelle glorieuse et réconfortante. Car bien que la maladie actuelle n'ait pas été causée par une faute directe de celui qui souffre, il est pourtant vrai que le péché a causé toutes les souffrances du monde depuis le commencement.

« Car si nous étions restés sans péché », comme le dit notre livre d'église, « la mort n'aurait pu l'emporter sur nous, encore moins sur toute autre affliction. le pardon continuel de tous ses péchés par les mérites du Sauveur.

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