Et quiconque ne vous recevra pas et n'entendra pas vos paroles : quand vous sortirez de cette maison ou de cette ville, secouez la poussière de vos pieds.

Cependant, ce n'est pas la volonté de votre Père qui est aux cieux qu'un de ces petits périsse.

Une comparaison des plus efficaces ! L'image est celle d'une prairie de montagne, où le berger a emmené son troupeau pour leur faire profiter pleinement de la riche herbe. Mais maintenant, il arrive que l'on s'égare, abandonnant la richesse de la prairie pour un monticule occasionnel d'herbe en touffe, échangeant la sécurité des soins protecteurs du berger contre l'incertitude des ravins et des canyons, avec le danger des éboulements et des animaux assoiffés de sang. .

Pour le berger, cette brebis devient alors un objet de préoccupation. Laissant les autres moutons derrière lui, il grimpe dans les montagnes sans chemin et cherche les errants. Et s'il a la chance de voir son travail récompensé, sa joie pour cette brebis sera plus grande que celle pour les autres qui n'ont pas ressenti la tentation de quitter la prairie à la recherche d'aventures. Le plus solennellement Jésus souligne, le plus solennellement Il énonce la conclusion : De la même manière, ce n'est pas l'objet de la volonté du Père céleste que même un seul des humbles et humbles disciples soit perdu, surtout pas à cause d'une offense commise par un frère dans la foi. Le Père céleste n'a qu'une seule volonté, la volonté de sauver ; Il n'a qu'un seul désir, celui de sauver par grâce. L'idée d'une prédestination à la damnation est aussi ridicule que blasphématoire.

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