car étroite est la porte, et étroit est le chemin qui mène à la vie, et peu nombreux sont ceux qui la trouvent.

Le Seigneur a terminé le sermon proprement dit, mais il ajoute ici, en guise de conclusion, quelques avertissements et donne quelques indications concernant diverses offenses dans la doctrine et la vie que ses disciples sont susceptibles de rencontrer. Deux voies sont brièvement esquissées, menant de la vie présente à celle d'outre-tombe. Et les deux voies s'opposent, l'une étant décrite par ses signes distinctifs et par sa fin. Le sens unique est en effet un chemin commun, personne n'en est exclu.

Mais il est étroit, sans place pour des libertés frivoles de part et d'autre. Et il mène finalement par une porte étroite et étroite, qui n'a rien à recommander extérieurement. Seuls relativement peu trouvent cette façon. Il est si inexploré qu'il peut facilement être manqué. D'un autre côté, il y a une route large, large, spacieuse, spacieuse, avec de nombreux facteurs qui invitent, qui mènent en avant sur cette route. Et à son extrémité se trouve un large portail accueillant.

Mais ce chemin et cette porte, avec toutes les qualités qui les recommandent, avec toute l'invitation à se livrer à la vie libre et sans entraves du monde, mène à la destruction ; sa fin est la condamnation éternelle. Il n'y a pas d'avertissement spécial nécessaire pour les disciples du Christ. Ils évitent cette voie large et invitante comme la voie de la chair, du monde et du diable. Mais l'autre voie, qui en elle-même n'offre aucune promesse séduisante, sur laquelle aucune foule bruyante et bousculée ne trompe l'ennui, est néanmoins le choix du Seigneur.

Car elle conduit à la vie, à la vraie vie, à la seule vie digne d'être vécue, à la vie éternelle avec Celui dont le chemin était tout autant un passage étroit, un défilé rocailleux, mais qui est entré dans la gloire de son Père. Entrez par cette porte, c'est Son appel d'amour. Vaincre, dans sa force, toute faiblesse de la chair. Surmontez par lui tous les assauts du monde et de Satan, peu importe sous quelle forme ils peuvent apparaître.

La fin vaut mille batailles, Apocalypse 2:10 ; Apocalypse 3:11 .

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