Rends-toi chauve, Sion en tant que mère de la nation à qui l'on s'adresse, et interroge-toi, lui coupant la tête, pour tes enfants délicats, dans un profond chagrin et des lamentations douloureuses ; agrandis ta calvitie comme l'aigle, le vautour fauve de l'Orient, dont tout le devant de la tête est sans plumes ; car ils sont allés en captivité loin de toi. Le paragraphe entier est une description puissante et vivante du renversement du pays par les armées des envahisseurs, qui seraient envoyées pour punir la transgression de Juda.

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