v. 21. Celui qui méprise son prochain pèche, c'est-à-dire celui qui néglige un ami à qui il doit de l'amour, surtout s'il est dans le besoin ; mais celui qui a pitié des pauvres, faisant preuve d'une vraie compassion envers les pauvres et les misérables, heureux est-il, puisqu'il peut lui-même s'attendre à bénéficier de son acte.

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