Ruth 2:7

et elle dit : Je vous en prie, laissez-moi glaner et cueillir après les moissonneurs parmi les gerbes ; alors elle est venue et a continué depuis le matin jusqu'à maintenant, qu'elle s'est attardée un peu dans la maison, elle n'avait même pas pris le temps de se reposer, tant elle avait été occupée. Le surveillant loua donc à la fois l'humilité et la diligence de Ruth, y compris la bienséance et la réserve de son comportement. Il semble donc que Boaz a permis librement aux pauvres de glaner dans ses champs, et que son surveillant avait pris exemple sur son maître, se sentant très bien disposé envers ceux qui étaient dans le besoin, surtout s'ils étaient, comme dans ce cas, humbles et respectueux.