L'heure était venue d'exécuter la sentence de Dieu sur la maison d'Achab. Le prophète a envoyé un des fils des prophètes pour oindre Jéhu. Ce Jéhu, comme son histoire le révèle, était un instrument approprié pour un jugement rapide et implacable. C'était un conducteur furieux, ce qui symbolisait son caractère. Il ne s'est arrêté à rien, mais a balayé comme un tourbillon de point en point jusqu'à ce que les choses qu'il désirait soient accomplies. Ceci est étonnamment manifeste dans ce chapitre.

Sur le chemin, ayant été oint directement à son travail, il tua Joram de ses propres mains et, reculant rapidement, engloba la mort d'Achazia, puis se dirigea vers l'endroit où Jézabel vivait encore. Prononçant sur elle la condamnation même de Dieu, il exécuta en détail la sentence prononcée il y a longtemps.

C'est en effet un chapitre terrible où la vérité du gouvernement divin n'est plus écrite dans les paroles douces d'une miséricorde patiente, mais dans des flammes de feu. Enfin, le jour de la patience de Dieu était passé, et l'épée dévorante tomba sur les principaux personnages de la maison d'Achab, qui avaient tant fait pour couvrir la ruine de son ancien peuple.

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